vendredi 15 décembre 2006

Stage de danses du Tregor du 23 - 24 septembre 2006 à Joué les Tours

En vue d’un week-end épuisant physiquement, j’avais prévu de faire des réserves d’énergie par une bonne nuit de sommeil.
Le samedi :
Une fois de plus, j’arrive en retard,
Euh ! Non, je nuance, tout le monde est venu en avance.
Quoi qu’il en soit, je fus satisfait de voir des visages connus et les moins connus étaient tout aussi sympathiques ; Nos deux profs de stage, Cathy et Michel, non avares de leurs connaissances sur le Tregor, commencèrent par nous dépeindre leur région, la situant géographiquement, puis culturellement avec quelques taquineries sur le Léon, leur voisin. Puis, nous passâmes aux choses sérieuses, Dañs Treger.
Un bref instant pour se mettre en jambe.
- Mais où est mon pied droit ?
Je découvris avec joie la Grande danse du Tregor au son des violons (ouais ! là bas c’est le pays des violoneux)
- Dañs Treger
- Bal simple
- Passepied
- Jabadao

J’ai eu quelques problèmes
Rien de grave, je vous assure. Les vieux réflexes de débutants quoi !
Ouf ! ça y est
Ah ! non
Vous voyez le truc ?
Par la même, j’aidais Mathilde à reconnaître sa gauche de sa droite.

Egalement, nous avons vu le Jabadao (ou quadrille) de Locquénolé

Ensuite, le soir, une collation avec le groupe du stage, les chanteurs d’ORISTAL , les sonneurs du Vouvrillons , Cathy et Michel.
Eh ! Ouais ! Je me trouvais à table plutôt dans le coin des filles. Juste de quoi causer.
Non, ça a été. Les pipelettes m’ont laissé dire deux trois mots. J’ai même pu raconter des blagues.

Et puis le fest noz a débuté.

Et c’est là qu’on a pu crâner sur la danse du Tregor. Une chance, cette danse moins connue ne pouvait être soumise à un quelconque jugement, alors personne a vu que je me suis merdé un peu, parce que tout est dans le sourire.Image Hosted by ImageShack.us

Ayant promis de m’occuper de l’entrée, je dus m’acquitter de cette tâche, non sans grincement, et oui une Gavotte Pourlet m’appelait de sa petite voix, mais je dus décliner l’invitation. Cependant, ayant le moral au beau fixe et voyant l’une des chanteuses d’ORISTAL sortir des toilettes avec son téléphone portable (et ouais ! on en fait des rencontres prés des sanitaires, c’est pour ça qu’au camping ….. ), je lui lançais un trait d’humour : On capte mieux là bas ?
J’ai pas eu de réponse. Etrange non ?

Le dimanche :
Je finissais laborieusement la fête sur un kost ar c’hoat.

« On regrettera seulement que peu de monde soit venu et que des petits marlous se soient amusé à crever des pneus. »

Tout c’est terminé par le rangement.
Evidemment quoi ?
Dans tout ça, j’avais oublié de faire bosser les bras.

Et quand la chose fut faite …

ZZZ… ZZZ

Quatre, cinq heures au moins. Le juste nécessaire pour rouvrir les yeux.

Et puis, on a repris le stage, avec répétition de ce qu’on avait vu la veille, plus quelques variantes.
Entre midi et deux, Cathy me fait remarquer que j’ai les yeux de plus en plus petit. Alors, je pris un café virtuel, parce qu’y en avait pas. Ça m’a requinqué.
Une chance que je ne sois pas trop cérébral, mon corps s’est débrouillé tout seul pour la fin de stage.

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