vendredi 15 décembre 2006

Fest-noz à la Chaussée St Victor (41) le 14 octobre 2006


Ayant recueilli trois petites malheureuses sur le parking de Carrefour à St Pierre des Corps(Anne, Mathilde et Stéphanie), je compris tout de suite que c’était pas la peine d’allumer l’autoradio. J’avais pourtant prévu du Metallica.

Et vroum, jusqu’à Blois par les bords de Loire avec la question qui angoisse :
- C’est où qu’on va ?
- Au Nord, me répond Anne
- Ah ! (sans boussole ça se corse)

mais une dose de logique et l’intervention des filles :
- Euh ! tu roules sur la voie des Bus – hi, hii !
- Il était pas orange
- La route est grande, ça doit être par-là

En moins d’une demi-heure, nous voilà arrivé juste à temps pour assister à la fin de l’initiation danse.

C’est dingue comme on a du mal à se rappeler comment on était quand on a commencé la danse quand on voit les autres.

En hommage à Titi, les sonneurs ont joué un air un peu triste. Anne a transpiré des yeux.

Et puis, ce fut la place aux danseurs.
Pascal me souhaitait la bienvenue en me tâtant le postérieur de son pied et je lui répondais par un p’tit coup de fesses pendant la chaîne.

Un peu plus tard dans la soirée, je me tapais la honte sur une fisel.
Un petit merci à Patricia de m’avoir fait remarquer que ça se voyait que je savais pas. Cela même avec les efforts de Anne à m’expliquer. C’est sympa. Moi qui voulais être discret.

Enfin, c’était pas plus pire que si c’était moins bien.

A la suite de cet événement, je me liquéfiais sur un Plinn. Une mise en transe comme pour oublier un échec.

Et y a eu la séquence glamour. Pou pou pi dou avec Anne qui, sur une scottish, me dénudait l’épaule et me remettait le t-shirt en place tout en se marrant.
J’suis pudique moi
A se rend pas compte !
Y faut dire qu’avec la chaleur, le poids de sa petite main était suffisant à cet état de fait. Quoi ! j’ai les épaules qui tombent aussi. Ben voilà c’est agréable !
Ch’ui pas une baête de foire quand même !

Ce que je vais dire, là, n’a aucun rapport avec ce qui s’est passé précédemment.

Je voudrais dire à tous ceux qui m’ont vu et qui n’ont pas osé me le dire et aussi à ceux qui me l’ont fait remarquer que si Anne était assise à mes pieds (vous imaginez le tableau), c’est pas que je suis pas galant, mais Anne préférait être assise parterre pour pouvoir étendre ses jambes. Et d’ailleurs, je vous f’rais dire que je lui ai proposé ma place. Ouais, c’est vrai d’abord !
D’accord, j’avoue que c’est sympa d’avoir une fille à ses pieds mais en fait, c’est moi qui me suis assis après.
Si fallait que je compte sur mon charme ! en vieux grigou, je profite des opportunités pour me faire remarquer

(Passé 1h du mat’, Yolaine et Meva avaient quelques difficultés à se rappeler les chansons).

Et pis m’en fout, on a terminé, nous, sur une gavotte d’une demi-heure, na.
Il a fallu qu’on parte sinon ils auraient lâché les chiens, vu qu’ils voulaient pas nous laisser les clefs.
Et puis, Mathilde qui n’a pas beaucoup dansé, à cause qu’elle était fatiguée, n’avait plus rien à raconter (ou plus d’auditoire), elle voulait rentrer. J
Bon d’accord, Mathilde, je la mérite. Mais tu pourrais pas changer d’épaule l’autre me fait encore mal.

Un clin d’œil au sonneur biniou des RE AN ARE qui manque pas d’humour.
Je me rappelle d’un truc : ça donnait approximativement ça : - « b. ; vous jou. . beu fea .. . cercle circassien, be… ve.. .. un cercle Pinder »
Ça vous a fait ça aussi ! on comprend pas tout.

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